Partie 2 – le constat :
La première étape de notre libération est de prendre conscience de notre propre emprisonnement.
Nous prenons petit à petit conscience que les dès étaient pipés depuis les départ. Les promesses que les technologies modernes puissent nous libérer, que les réseaux sociaux nous rapprocher et développer nos vies relationnelles étaient des mensonges. Les promesses des politiques qu’un monde meilleur était possible en sacrifiant un peu de nos libertés et de nos impôts étaient des mensonges. Les promesses des médias que le bonheur pouvait de trouver dans la consommation de biens matériels et dans l’aventure digitale étaient des mensonges. Nourriture, alcools, Amazon prime, Netflix, voyages exotiques, pornographie gratuite… tout ça pouvait nous remplir et nous rendre heureux; tout était mensonge.
Nos maîtres occultes peuvent maintenant rire de l’horizon pollué et de l’effondrement de notre civilisation ; notre inconscient collectif pourrissant sous l’infection de ces parasites. Oui le constat est négatif. Et personne ne viendra nous sauver. Nous réalisons qu’il est inutile de voter, de commenter sur les réseaux sociaux, de s’attaquer aux pouvoirs visibles. Car nous sommes du bétail pour les Dieux, cultivés de manière impitoyable pour notre énergie. Toute échappée est impossible.
C’est le moment d’accepter qu’il n’y a qu’une porte de sortie : c’est l’évolution spirituelle, c’est l’hérésie personnelle. La seule possibilité de sortir du jeu est de ne plus y participer. C’est le moment idéal pour plonger dans son intériorité et s’élever plus que jamais pour bouleverser l’ordre cosmique. Car chaque individu qui s’éveille et commence à se libérer est un événement cosmique, une rébellion provoquant une panique dans l’enfer.