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« Notre monde est-il une prison ou une école? Car il affaiblit le faible, mais renforce le fort ». Tom MONTALK

 » Béni soit celui qui visite ce monde à son moment le plus sombre »: Fedor TYUTCHEV

 

Notre façon de (sur)vivre des traumastismes est déterminé par:

  • notre capacité à la résilience

  • notre force d’âme

L’âme apprend à travers l’incarnation. Quelque soient ces évènements menant vers l’apprentissage, leur jugement humain moral n’a pas lieu pour l’âme. Hors du temps et de l’espace; elle évolue à travers nos vies, le dépassement des épreuves et des traumatismes.

Nous jugeons ce qui est bon (ce qui nous fait du bien..) ou mal (tout le contraire) par des valeurs humaines. Mais l’âme est au dehors de ces aspects humains, elle est là pour évoluer. Une vie douleureuse peut être un cadeau sur le plan de l’âme si intégrée et dépassée. Ces considérations peuvent choquer, mais sachant dépasser la dimension matérielle (incluant des notions humaines come la morale, l’éthique) on arrive au coeur du mystère de la vie: son but métaphysique. Celle de l’éternité, notre part d’éternité.

Des épreuves ou obstacles présentent des leçons de vie, qui intégrées et dépassées nous changent en profondeur. La croissance qui en résulte concerne l’être dans son entièreté.

Chacun de nous a une capacité de résilience différente; elle peut être due à des contextes psychologiques, émotionnels ou culturels. Au delà de ces critères réside une différence individuelle intangible: l’âme, notre force de vie.

L’énergie face à l’adversité, l’acceptation, le dépassement a une source intérieure; cette énergie met en mouvement, combat, intégre, pousse de l’avant. Elle est mûe par elle-même, se découvre dans la mesure où elle est vécue, nous poussant à nous dépasser dans les moments critiques.