Les cycles ont des origines célestes. De la course des planètes à l’avancée plus lente des constellations, toutes ces forces célestes plongent notre planète dans des rayonnements déterminant les divers cycles collectifs et individuels de nos réalités terrestres et de la conscience.
Lorsqu’un cycle touche à sa fin, le rayon qui le déterminait se retire et un autre commence à se manifester. De leurs impacts sur terre, toutes les formes incarnées en sont affectées. Il arrive un moment où les deux rayonnements des deux cycles, l’un finissant et l’autre débutant, arrivent à un point d’équilibre. Ni l’un ni l’autre ne domine.
Celui finissant provoque la destruction des formes terrestres qui l’incarnaient et lui servaient de véhicule de manifestation. Celui approchant commence à construire les nouvelles formes physiques et à modeler la nouvelle conscience qui lui correspond.
De ce point d’inflexion et de bascule surviennent des crises bien déterminées. Des extrêmes et des fanatiques du cycle déclinant surgissent comme autant de résistances au changement et de prélude à leurs libérations. Le Nouveau cherche des formes à construire.
L’humanité est prise en étau entre ces deux influences célestes antagonistes, prisonnière des fourches caudines de destruction d’un côté et de création de l’autre. Tout ceci explique l’apparition soudaine de tensions et de problèmes multiples de la situation mondiale actuelle.