Une société est riche des éléments qui la composent; l’art de l’expression individuelle permet donc une contribution optimale à une communauté.
La voie individuelle se distingue fondamentalement du déterminisme collectif et de l’uniformisation, de la robotisation et de la causalité. L’expression de notre intériorité disparaît dès que l’on est un suiveur; dès que l’on suit un mouvement, un leader, un parti, une mode… Être esclave d’un groupe, d’une idéologie, d’un égrégore projette notre souveraineté intérieure au sein d’une autorité extérieure.

Quelle autorité devrait décider de ma vie? Qu’est ce qui est bon pour ma vie? Quelle autorité devrait guider ma vie morale? A quelle autorité devrais-je avoir une totale confiance? Une seule: la mienne.
Cette autorité intérieure est une voie vers une autorité supérieure à l’être, car divine. C’est une voie vers le divin, pouvant ainsi nous traverser et diriger nos vies.
Nous sommes libre de transcender le déterminisme temporel et exprimer notre expression individuelle unique, d’agir en accord avec nos aspirations profondes. Faire cela, c’est honorer la vie.
La voie collectiviste (le groupe avant l’individu) en est son opposé: elle nourrit le pouvoir temporel et le narcissisme de groupe, elle rejette l’afflux de l’âme et le flux de la vie. Elle s’oppose au créateur et à la création.

Chaque être de la nature est unique. Vouloir soumettre les éléments d’une société à l’uniformisation d’un système centralisé, c’est vouloir bloquer l’ordre naturel. C’est le cas par exemple d’un système politique exigeant la soumission de sa population, d’un système agricole produisant une monoculture standardisée, ou d’un système industriel fabriquant des produits normés. Même logique, même uniformisation forcée, même décalage conduisant tôt au tard à une correction des lois naturelles / divines.
Alors quels choix faire? Suivre le programme ou suivre son propre chemin?

Je propose des accompagnements prenant en compte ces aspects.