A la croisée des chemins entre 2 cycles, il ne s’agit pas de regretter le passé ni d’espérer le futur, mais de se concentrer sur les dynamiques évolutives du présent ; et elles sont très nombreuses et fondamentales pour préparer tout le cycle à venir.
Une fin de cycle clôture tout ce qui a été traité durant ce cycle, le révèle et le résout. C’est un précipité de l’expérience de tout le cycle. La destruction de la forme signifie la fin du cycle et son accomplissement, le déshabillage de ses attributs extérieurs et temporels. La crise va chercher alors nos lacunes de notre conscience, les inaccomplis, les mensonges. Une société accumule son expérience tout au long de son existence, se transformant alors en cataclysme à la fin de son cycle.
C’est un moment de révélations et de nettoyages, tâches nécessaires pour clôturer au mieux ce cycle et débuter le Nouveau avec une sphère épurée, astrale et éthérique. Ce qui était caché est dès lors révélé, les masques tombent enfin. Ce qui est révélé peut être enfin perçu, conscientisé, réparé, intégré et dépassé. L’inaccompli montre le chemin d’évolution et l’entrée optimale dans le nouveau cycle.