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« Toute vérité passe par trois étapes, d’abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme une évidence »

Arthur Schopenhauer

 

Comment différencier l’ancien du Nouveau? Les discerner est primordial dans notre époque de changement de cycle. Afin de se retirer de l’ancien disparaissant et pouvoir investir son énergie dans le Nouveau émergeant.

Les plus riches ne sont pas forcément ceux travaillant le plus ou ayant eu de la chance. Ils sont souvent ceux ayant pu anticiper des événements et des phénomènes sociétaux, économiques… Ils sont pu investir leurs énergies dans les bonnes formes émergentes ayant pu grandir et devenir plus tard la nouvelle norme. La vision des lois subtiles, le discernement, la connaissance éclairée deviennent des compétences au service des bons choix de vie et des bons investissements énergétiques. Ceux reconnaissant le Nouveau d’aujourd’hui deviennent les nababs de demain. Ceux canalisant leurs forces de vie dans le Nouveau empruntent leur chemin d’âme.

Lorsque la conscience quitte le véhicule qui lui servait de forme pour accomplir son expérience dans la matière, tout se cristallise et se fragilise. Elle cherche un nouveau véhicule correspond à sa nouvelle fréquence.

L’ancien hurle et s’agite pour maintenir l’attention et donc l’énergie captée. Le Nouveau est discret pour grandir car il est fragile.

L’ancien est certitude et orgueil. Le Nouveau est moqué et incompris.

L’ancien est pouvoir et fragilité. Le Nouveau est puissance et croissance.

L’ancien se distingue des lois divines. Le Nouveau se confond avec les lois divines.

L’ancien c’est la vérité d’hier. Le Nouveau c’est la vérité de demain.

L’ancien c’est la coquille vide des institutions et des médias qui se maintiennent par des perfusions financières et des effets d’annonce. Notre force de vie se doit de se retirer de ces formes stériles et trouver de nouvelles formes à investir.

L’ancien c’est l’arbre immense, il sait déjà qui il est. Le Nouveau c’est le germe a peine visible, il ne sait pas qu’il deviendra arbre.

L’ancien, c’est l’autoroute du système. Le Nouveau, c’est le sentier de l’âme.

L’ancien c’est le connu et le répété. Le Nouveau c’est l’innovant et l’inconnu.

La peur garde l’ancien, le mental le connaît bien, l’habitué ne voit que lui. La confiance embrasse le Nouveau, l’intuition le pressent, la joie le ressent.

S’accrocher à l’ancien, c’est risquer de disparaître avec lui. Nourrir le Nouveau, c’est croître avec lui.

Les participants à l’ancien sont les habitués, les fanatiques et les réticents au changement. Les participants au Nouveau sont les visionnaires, les non conformistes et les inadaptés à l’ancien.

L’ancien c’est la routine et le maussade. Le Nouveau c’est la découverte et l’enthousiasme.

Le mal répète l’ancien, le bien crée le nouveau.

Tout le chemin de conscience à parcourir est de trouver de nouvelles formes à travers lesquelles canaliser sa force de vie.